Délices des musiques de moeurs adoucies,
Emportées par un océan de maux perdus,
Des sonnets s’égaraient en des lieux trop ardus
Seuls, désemparés, sans auteur, indécis.
Abrutis par la houle hurlante sur la grève,
Les poèmes soupiraient quelques mots de vivre
Dont pas un ne terminera dedans un livre,
Oubliés en recueils abscons : rimes qui crèvent
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